Je ne glisse pas. Ou alors accidentellement.
Et dans ces cas là, je m’entorse ou je me casse quelques chose. Dernière entorse en date : 25 juin 2021, qui m’a valu d’être en arrêt tout l’été, j’ai glissé sur un linge au sol qui attendait d’aller en machine, et j’ai entorsé mon genou (Hyperlaxité des membres inférieurs, mon amour). Dernier truc pété : mon coude droit en 2017, trois fois rien, juste un éclat d’os décroché, mais suffisant pour me mettre en arrêt 3 mois à l’époque, avec une jolie résine pendant quelques semaines.
Et il n’y a pas que là, que je ne glisse pas. Même avec beaucoup d’amour et de lubrifiant, contrairement à ce qu’on dit, chez moi, ça ne passe pas. Je m’en suis fait une raison depuis longtempts, la sexualité non-pénétrative, c’est tout aussi fun quand on a un peu d’imagination, de savoir faire et d’écoute du corps de l’autre. Et non, je ne vous ferait pas de dessin. Accessoirement, le polyamour a ceci de bon, c’est que tout ce que je ne fais pas à l’un de mes partenaires, leurs autres partenaires peuvent s’en charger. Et ce que je fais, en revanche, je le fais mieux que personne. #IKnowWhatImDoing #100%DesGagnantsOntRetentéLeurChance #JaiPasToujoursDisOuiPourUnDeuxièmeTourParContre #MaisCertainsOntEuLeDroitDeRevenirMoultFois
Too Much Information ?