Hier il a fait chaud. Pas tout à fiat autant qu’aujourd’hui ou demain, mais bien chaud. Et puis, en deuxième moitié d’après-midi, il le ciel s’est couvert, le mercure s’est arrêté de monter sans pour autant redescendre, il faisait lourd mais pas assez pour un orage. J’ai goûté ce répit solaire sans y penser plus avant. C’etait bath.

Le Duncan est rentré, le soleil avait ressorti le bout se son nez en descendant sur l’horizon. Installé à la table de la terrasse sous le parasol, avec son apéro, le cher et tendre me fait alors remarquer deux insectes ailés morts sur la table… Si eux était là, morts, avec les nuages de l’après-midi, cela ne pouvait signifier qu’une chose : leurs meufs étaient soient toujours en l’air en train de s’y envoyer, soit elles étaient en train d’atterir et de s’arracher les ailes avant d’aller se cacher.

Et effectivement, j’ai spoté aussitôt, sur la terrasse, deux miss désailées qui couraient sur les dalles. Le temps d’attraper un tupperware, je l’ai ai attrapées, et je suis allé arpenter le trottoir devant la maison. Je n’ai que dix tubes pour en loger. Mais j’aurais pu en attraper vingts ou trente en moins d’une heure. J’ai dû nettoyer fissa mon matériel d’hébergement de fondation et qui avait pris la poussière depuis le déménagement.

Bref, depuis hier soir, j’héberge une dizaine de néo -reines fourmis. Je ne sais pas de quelle variété, je vais devoir les prendre en photo et demander identitification. Elles me semblent légèrement plus grosses que mes précédentes pensionnaires, mais je peux me tromper et il est très possible que ce soit encore des Lasius (Niger ou Emarginata, les reines sont noires) (on est en Bretagne, hein, si je trouve des folles de feu, ou des balles de fusil, je vais m’inquiéter, hein). Bref, comme l’an dernier je vous tiens au courant de leur évolution, les zouzous.